À propos
Après un spectacle à distribution importante, les deux morts de Quinquin la Flotte de Jorge Amado, le Théâtre Avaricum présente trois pièces courtes à petite distribution sur le thème ô combien théâtral du cabot !
Résumé
"Ah ! Si tous les cabots du monde voulaient bien se donner la main ... Quelle fête ce serait ! Se sont donné rendez-nous sur la scène des cabots, français, italiens (évidemment !) et russes (ah ! l'âme slave) et qu'est-ce qu'ils sont beaux les cabots ! Ils ne savent plus s'ils jouent à vivre ou s'ils vivent pour jouer; ils ne sont jamais aussi sincères que quand ils jouent et aussi menteurs que lorsqu'ils vivent. Toujours drôles et émouvants. Où s'arrête le jeu, où commence la vie ? Où s'arrête la vie, où commence le jeu ? Avec ou sans public, jouer ! Jouer pour ne pas mourir.
Le défunt (de Obaldia): Deux femmes répertorient les frasques d'un défunt Victor dont elles ont été toutes les deux amoureuses.
Ruzzante revient de guerre (de Ruzzante): Ruzzante raconte ses exploits à son Menato.
Mon chant du cygne (de Tchekhov): Un acteur vieillissant s'est endormi après la représentation. Il se retrouve seul dans le théâtre au beau milieu de la nuit.
Technique
Régie Patrice Brault